Bog bodies, les momies des tourbières
Le Musée archéologique de la ville de Schleswig en Allemagne expose l’homme de Neu Versen (430 – 220 ap. J.C.), découvert en 1900 dans la Lande de Boutanger, entre les Pays-Bas et l’Allemagne, surnommé Franz le rouquin par les Allemands, à cause de sa chevelure et de sa barbe rousse.
Bog bodies, les momies des tourbières
Le Musée archéologique de la ville de Schleswig en Allemagne expose l’homme de Neu Versen (430 – 220 ap. J.C.), découvert en 1900 dans la Lande de Boutanger, entre les Pays-Bas et l’Allemagne, surnommé Franz le rouquin par les Allemands, à cause de sa chevelure et de sa barbe rousse.
Bog bodies, les momies des tourbières
Le Musée archéologique de la ville de Schleswig en Allemagne expose l’homme de Neu Versen (430 – 220 ap. J.C.), découvert en 1900 dans la Lande de Boutanger, entre les Pays-Bas et l’Allemagne, surnommé Franz le rouquin par les Allemands, à cause de sa chevelure et de sa barbe rousse.
Bog bodies, les momies des tourbières
Le Musée archéologique de la ville de Schleswig en Allemagne expose l’homme de Damendorf (380 – 140 ap. J.C.), découvert en 1900 dans une tourbière, dont l’eau très acide lui a dissous les os. À ses pieds étaient déposés des vêtements.
Bog bodies, les momies des tourbières
Le Musée archéologique de la ville de Schleswig en Allemagne expose la fille de Windeby (fin de l’âge de fer) découverte en 1952. Âgée d’environ 14 ans, elle porte un bandeau sur les yeux et la moitié de son crâne avait été rasée selon, probablement, un sacrifice rituel.
Bog bodies, les momies des tourbières
Le Musée archéologique de la ville de Schleswig en Allemagne expose l’homme de Renswühren découvert en 1871, couché face contre terre, la tête couverte de vêtements de cuir et de laine.
Bog bodies, les momies des tourbières
Le musée de la ville de Silkeborg au Danemark l’homme de Tollund (220 av. J.-C.), découvert en 1950 au fond d’un marécage. Âgé de 30 à 40 ans, il avait une corde autour du cou., témoignage d’un culte sacrificiel dédié aux dieux.
Bog bodies, les momies des tourbières
Le musée de la ville de Silkeborg au Danemark expose la femme d’haraldskaer (entre 790 et 260 av. J.C.) appelée « Queen Gunhilde », découverte en 1835.
Bog bodies, les momies des tourbières
Le musée de la ville de Silkeborg au Danemark expose l’homme de Tollund (220 av. J.-C.) découvert en 1950 au fond d’un marécage. Agé de 30 à 40 ans, il avait une corde autour du cou, témoignage d’un culte sacrificiel dédié aux dieux.
Bog bodies, les momies des tourbières
Le musée de la ville de Silkeborg au Danemark, expose les « Bog bodies ». La femme d’Elling (160 av. JC – 340 ap. JC), découverte en 1938. Le corps est enveloppé dans une cape en peau de mouton, les jambes d’une cape en cuir de veau et la chevelure est tressée de manière élaborée.
Bog bodies, les momies des tourbières
Au Musée national de Copenhague, la femme d’Huldremose (160 av. J.-C – 340 ap. J.C.) découverte en 1952. Ses membres sont couverts d’entailles, son bras droit est amputé. Des vêtements très bien conservés ont été inhumés avec elle: 2 capes de peau, 1 jupe, 1 écharpe et 1 péplum et 1 peigne de corne.
Bog bodies, les momies des tourbières
Le musée de la ville du Comté de Galway en Irlande expose l’homme de Gallach ( 470 – 120 av. J.C.) l’une des plus anciennes momies des tourbières, découverte en 1821, vêtue d’une peau en daim.